Prélever - Relâcher
- Le 20/03/2023
- 3 commentaires
L' article "ouverture 2023 " avec la photo de "la truite trophée" a suscité quelques commentaires négatifs, qui relève du débat intéressant entre "pêcheur préleveur" et "pêcheur protecteur". Ce post fournit une réponse générale et quelques élements de reflexion .
Sans entrer dans une discussion complète , juste deux remarques pour pondérer les commentaires negatifs avec la truite "non relâchée"
- La première : un prélèvement raisonnable peut être autant défendu que la relâche de grosses truites en fin de vie .
- La deuxième : dans une association de pêche il y a différents pêcheurs avec différentes techniques et différentes approches de la gestion du patrimoine. C est une difficulté mais aussi une richesse pour tous
Pour plus information et réflexion , l'article publié sur le site truites et compagnie par 'Olivier Plasseraud aborde de manière intéressante la gestion piscicole et entre autres le point de notre débat. Voir "le mieux est il l'ennemi du bien ? "
Commentaires
-
- 1. Alberto Le 26/03/2023
Bonjour,
Bien parlé, il faut arrêter de relayer ces petits bourgeois effrontés.
Chacun a le droit de pêcher comme bon lui semble tant qu'il respecte les règles de l'AAPPMA -
- 2. Alberto Le 26/03/2023
Merci pour l'article
Hyper interessant -
- 3. JAUFFRET André Le 18/04/2023
Voilà une approche pragmatique et non idéologique de la pêche. L'obscurantisme ne mène à rien, si ce n'est à l'incompréhension, au blocage du dialogue si ce n'est au conflit.
Or, la pêche est et reste un loisir et non une contrainte, et il présente multiples visages.
Je reste persuadé que la très grande majorité des pêcheur du Plateau du Vercors sont des gens aussi respectueux de la nature et du milieux. De plus, en pratiquant dans un secteur dit préservé, ils ont à cœur de le respecter encore plus, en s'y impliquant au quotidien.
J'en attends pas moins des militants "écolos" qu'ils montrent leurs implications autrement que pas des mots ou des actions "coup de poing médiatiques", mais par leur participation active dans le cadre des réglementations et des lois, tout ça sur le terrain, avec les associations agrées et l'OFB, sans oublier les collectivités locales. A partir de là, nous aurons fait un grand pas !
Ajouter un commentaire